Texte paru dans la Boston Review. Pour l'auteur, le film La vie est belle de Roberto Benigni banalise l'holocauste au point d'en faire un fable sentimentale.
Jean-Philippe Trottier Entre les mains sales et les mains vides, il vaut mille fois mieux choisir la seconde option car, au moins, elle est réelle et seule capable de ressu