Le goût de bien des lecteurs pour les choses frivoles, et l'envie de faire un volume de ce qui ne devrait remplir que peu de pages, sont cause que l'histoire des hommes célèbres est presque toujours gâtée par des détails inutiles et des contes
Court poème écrit en 1777, soit un an avant la mort de son auteur.
«Tout, nous rappelle l'écrivain Elme Caro, les séparait violemment l'un de l'autre, les idées, la métaphysique, la morale, la manière de comprendre la religion, le talent même et la langue.» Un commentateur plus récent, Philippe Lavergne, es
Platon raconte le mythe de l'androgyne dans Le Banquet.
Voici des remarques critiques que j'ai faites depuis longtemps sur les pensées de M. Pascal. Ne me comparez-point ici, je vous prie, à Ézéchias, qui voulut faire brûler tous les livres de Salomon. Je respecte le génie et l'éloquence de M. Pasc
Il s'agit d'une imitation évidente des Voyages de Gulliver, de Swift. On y trouve un banquet de philosophes qui exposent leurs idées sur la nature de l'âme. Aristote et Descartes sont critiqués, Locke est épargné.
LETTRE I
SUR LES QUAKERS
J'ai cru que la doctrine et l'histoire d'un peuple aussi extraordinaire que les quakers méritaient la curiosité d'un homme raisonnable. Pour m'en instruire, j'allai trouver un des plus célèbres quakers d'Angleterre, qui
«Si l'aventure de Savonarole fait voir quel était encore le fanatisme, les thèses du jeune prince de La Mirandole nous montrent en quel état étaient les sciences. C'est à Florence et à Rome, chez les peuples alors les plus ingénieux de la ter
Rarement Voltaire aura croisé un adversaire plus à sa mesure que Pascal. Tout chez l'auteur des Pensées attise la verve ironique du maître de Ferney. Dans cet extrait, il réfute le paralogisme par lequel Pascal démontre l'insondable mystère qu
Dans la préface à la traduction de Shakespeare par son fils François, Victor Hugo écrit: «Faut-il traduire Homère? — aura été la question littéraire du dix-septième siècle. La question littéraire du dix-huitième fut celle-ci: Faut-
Avec le 18e siècle, Venise « renonça à toutes ses ambitions. Elle devint l’hôtellerie décrite dans Candide, la ville où s’arrêtèrent tous les voyageurs du XVIIIe siècle, celle des comédies de Goldoni et des farces de Gozzi (
L'écrit de Voltaire fait voir les petitesses du grand Pierre.