Les pères et les mères qui s’adonnent au jeu de manière compulsive ont des pratiques parentales inadéquates.
Les enfants de parents qui s'adonnent de façon soutenue aux jeux de hasard et d'argent présentent deux fois plus de symptômes dépressifs et de troubles du comportement que les enfants dont les parents n'ont pas de problèmes de jeu. Ces caractéristiques semblent être des traits de personnalité profondément ancrés puisqu'elles sont toujours observables, et même de façon plus marquée pour ce qui est de la dépression, lorsque l'enfant a atteint l'âge de 23 ans.
C'est ce que montre une étude longitudinale de Frank Vitaro, professeur à l'École de psychoéducation et chercheur au Groupe de recherche sur l'inadaptation psychosociale chez l'enfant (GRIP). Le but de l'étude était de savoir si les enfants de joueurs «à problème» ont plus de difficultés d'adaptation que les autres et, si c'est le cas, de désigner à quels comportements des parents on pouvait relier ces difficultés.
Le texte intégral: Nouvelles de l'Université de Montréal, 14 septembre 2009
http://www.nouvelles.umontreal.ca/recherche/sciences-sociales-psychologie/
les-enfants-des-joueurs-compulsifs-manquent-dencadrement-parental.html
C'est ce que montre une étude longitudinale de Frank Vitaro, professeur à l'École de psychoéducation et chercheur au Groupe de recherche sur l'inadaptation psychosociale chez l'enfant (GRIP). Le but de l'étude était de savoir si les enfants de joueurs «à problème» ont plus de difficultés d'adaptation que les autres et, si c'est le cas, de désigner à quels comportements des parents on pouvait relier ces difficultés.
Le texte intégral: Nouvelles de l'Université de Montréal, 14 septembre 2009
http://www.nouvelles.umontreal.ca/recherche/sciences-sociales-psychologie/
les-enfants-des-joueurs-compulsifs-manquent-dencadrement-parental.html