Tendresse

Articles


Pour celle qui vit à mes côtés

Émile Verhaeren
I C’était en juin dans le jardin; C’était notre heure et notre jour Et nos yeux regardaient, avec un tel amour, Les choses, Qu’il nous semblait que doucement s’ouvraient Et nous voyaient, et nous aimaient Les roses. Le cie

Dossiers connexes




L'Agora - Textes récents