L'Encyclopédie sur la mort


Éternité

Pour Kierkegaard*, l'expérience de l'éternel nous transporte au-delà de l'esthétique jusque dans la sphère religieuse de l'existence. Cependant, elle ne vise pas l'immortalité* de l'âme après cette vie. Elle n'est pas non plus la quête de la vie après cette vie, mais l'avènement de l'éternité dans le moment présent. L'éternité n'est donc pas une réalité à venir, mais elle est vécue dans la densité et l'intensité de l'instant présent. Elle jaillit des profondeurs de la tragédie du présent et de la précarité de l'existence. Semblable à une petite barque dans la tempête et loin du port, l'homme risque sa vie sur une mer houleuse. Des profondeurs des vagues du désespoir, il peut éprouver une sensation de salut, un instant d'éternité bienheureuse.

Le philosophe danois découvre en Don Giovanni de Mozart une icône de «l'instant» défini en tant que «atome d'éternité». L'instant est «cette équivoque où le temps et l'éternité se touchent, et c'est ce contact qui pose le concept du temporel où le temps ne cesse d'interrompre l'éternité et où l'éternité ne cesse de pénétrer dans le temps». L'instant, c'est «la plénitude du temps» vécue hic et nunc (ici et maintenant), in ictu oculi (en un clin d'oeil). C'est «l’instant conçu comme l’éternel» (Le concept d’angoisse, Gallimard, «Idées», 1977, ch. III, p. 92-93). La musique est, par excellence, le lieu où l'on fait l'expérience de l'instant comme atome d'éternité.

Alain définit l'éternité comme l'inaltérable et l'impérissable, en l'opposant à la durée et en l'attribuant à Dieu:

«Est dit éternel ce qui par soi ne peut changer ni vieillir ni périr. Une sublime amitié est éternelle en ce sens qu'elle ne peut être atteinte qu'obliquement et par des événements qui lui sont tout à fait étrangers. L'amour prétend être éternel. Les pensées les plus assurées, comme d'arithmétique et de géométrie, sont éternelles aussi. La durée, au contraire, est essentielle à tout ce qui change et vieillit par soi. L'idée de rassembler tout l'éternel en Dieu est raisonnable, quoique sans preuve à la rigueur, comme au reste tout éternel, amitié, amour, arithmétique.» (Les dieux et les arts, Paris, Gallimard, «Bibliothèque de la Pléiade», 1958. p. 1056-1057)

Alain insiste, dans le christianisme, sur l'altérité de l'image de ce qu'il appelle précisément «l'autre vie». Une vie radicalement autre par rapport à la vie «ici-bas», en rupture totale avec les valeurs communément promues et recherchées dans ce monde : plaisir, pouvoir et richesse.
La vie éternelle est étrangère au temps:

«Je dois apprécier ici en passant cette idée de l'autre vie, qui, pour une grande part, comme je l'ai montré, appartient à des religions dépassées. Le christianisme la conserve en image, mais nous conduit à la concevoir en idée. Il n'est pas vrai, chrétiennement, que le paradis soit un lieu de plaisirs qui compense la tempérance en ce monde-ci; et l'idée de s'abstenir de boire pour mieux s'enivrer dans une vie future n'est nullement dans la méthodologie chrétienne. Au contraire, ce qui y est, c'est que l'autre vie, que l'on nomme éternelle, a des joies inconcevables à l'homme de chair, à l'homme qui est seulement animal. Par exemple ce serait une erreur, et même un péché, aux yeux du dernier confesseur de village, de pardonner à son ennemi avec l'idée qu'on en sera bien vengé, et plus cruellement qu'ici, parce qu'étant au paradis on le verra en enfer. Ce serait absolument manquer à la charité que de se réjouir de l'enfer des autres. Et le bonheur de pardonner est justement le bonheur du paradis, qu'on a gagné en pardonnant ici du mieux qu'on peut. Et bref la récompense que l'on conquiert en surmontant les vils plaisirs, c'est d'être délivré de ces plaisirs mêmes. Cela est théologique, et cela est aussi philosophique. Et l'on remarquera une fois de plus que l'erreur que l'on voudrait reprocher à la religion de l'esprit vient de ce que l'on retombe à la religion de la force. Car c'est le roi de chair qui vous rend au centuple ce que vous avez perdu à son service. Mais Jésus ne rend rien de ce qu'on a laissé pour le suivre; il paie par ceci qu'on n'a plus la moindre envie de retrouver ce qu'on a laissé. D'après cela vous comprendrez que la parole: «Mon royaume n'est pas de ce monde», a un sens direct et très éclairant. C'est toujours dire que l'esprit ne sera pas payé en monnaie étrangère à lui. Et cette pensée, si vous la suivez, purifiera aussitôt l'idée de paradis et d'immortalité. Et, parce qu'il n'est pas permis de penser qu'on sera alors riche, puissant, oisif, gourmand, méprisant,vainqueur enfin d'autre chose que de tout cela, il apparaît que la vie éternelle ne sera point dans le temps, c'est-à-dire ne consistera pas en intrigues, projets et succès. On dit aussi qu'elle est éternelle, c'est-à-dire étrangère au temps. Et la mythologie de Dante* ne dit rien qui ne sonne comme il faut, car les plaisirs du paradis sont d'esprit, et consistent dans la contemplation de la valeur vraie, ou, pour parler autrement, dans l'admiration de ce qui est admirable. D'où l'on comprend que l'amour terrestre n'y figure plus que comme un ravissement de connaître enfin l'objet aimé sans petitesse d'animal, c'est-à-dire tel qu'on le voulait, tel qu'on l'aimait déjà. Ce tableau seulement esquissé suffit pour que l'homme y reconnaisse son image. Car le militant d'ici n'espère point richesse ni pouvoir, et sa récompense est premièrement de ne désirer jamais ni l'une ni l'autre. Et son bonheur est d'admirer celui qui est digne d'être admiré, celui qui est comme on voudrait que tout homme soit. Ajoutons le vif plaisir de connaître quelque chose de la vérité totale et universelle, et d'aimer et d'honorer ce même pouvoir en tout enfant et en tout homme.»
(Alain, p. 1182-1183)

« Pour certains, le religieux est cet instant d'éternité que l'on savoure à l'occasion de la présentation d'une pièce de théâtre, de l'écoute d'une musique ou de la lecture d'un livre. On peut éprouver un sentiment esthétique intense devant la toile de la Fiancée juive de Rembrandt, au Rijksmuseum d'Amsterdam, au point que le regard ne parvient pas à s'en détacher. Physiquement cloué sur place, on est spirituellement transporté et on désire que l'expérience vécue ne prenne jamais fin. Il nous arrive d'être fasciné par le mystère qui, à la fois, se révèle et se dérobe devant nos yeux, et d'être envahis par un émoi, proche de la crainte et de la retenue, proche aussi de l'euphorie et de l'exaltation. Cette attitude de déférence heureuse peut nous habiter longtemps et renaître en nous chaque fois que l'on y repense. Certaines pièces musicales nous donnent des sensations de la même trempe.» (É. Volant, La maison de l'éthique, Montréal, Liber, 2003, p. 42)

Cette sensation d'éternité a été exprimée avec la puissance poétique d'un Nietzsche* dans ce qu'on appelle «Le chant de l'ivresse», mais qui supporterait fort bien l'intitulé: «La danse de minuit». Au son de la vieille cloche fêlée de l'église du village, l'écrivain, fils de pasteur, vit au milieu de la nuit un moment de grande émotion. Il souffle à l'oreille de Zarathoustra, son personnage prophétique, des mots d'exultation qui résonnent encore aujourd'hui et dont le lecteur se souviendra. Le message est clair: le désir, la joie, le plaisir, la jouissance, éprouvés et condensés dans le mot allemand Lust, refusent de cesser ou de retomber dans la médiocrité d'une petite vie mesquine, mais veulent perdurer éternellement.

Le poète philosophe, musicien et compositeur, convoque des hommes vieux, mais vaillants, surpris de se sentir encore si bien sur la terre:


«Cependant, ils étaient tous sortis, l'un après l'autre, en plein air et dans la nuit fraîche et propice aux pensées, et Zarathoustra lui-même conduisait le plus laid des hommes par la main pour lui montrer son monde nocturne, la grande lune ronde et les cascades argentées auprès de sa caverne.

[...]

«Mes amis, vous qui êtes réunis ici, dit le plus laid des hommes, que vous en semble? À cause de cette journée - c'est la première fois que je suis content d'avoir vécu ma vie tout entière.

Et il ne suffit pas d'avoir témoigné cela. Il vaut la peine de vivre sur la terre: Un jour, une fête en compagnie de Zarathoustra m'a appris à aimer la terre.

"Est-ce ceci - la vie?" dirai-je à la mort. "Soit! Recommençons!"

Mes amis, que vous en semble? Ne voulez-vous pas, comme moi, dire à la mort: "Est-ce cela la vie? Soit, pour l'amour de Zarathoustra, recommençons!"

[...]

Zarathoustra, cependant, mit une troisième fois sa main sur sa bouche et dit: "Venez! Venez! Venez! Il est l'heure: allons dans la nuit!

O hommes supérieurs, il est près de minuit: je veux donc vous dire quelque chose à l'oreille, quelque chose que cette vieille cloche m'a soufflé à l'oreille.

[...]

- la cloche bourdonne, le coeur râle encore, le ver ronge le bois, le ver du coeur. Hélas! Hélas! Le monde est profond!

Douce lyre! Douce lyre! J'aime le son de ta musique, ce son de crapaud ivre! comme ce son me vient de loin, d'un lointain autrefois, des étangs de l'amour.

Vieille cloche! Douce lyre! toutes les douleurs t'ont déchiré le coeur, la douleur du père, la douleur des pères, la douleur des aïeux, ton langage a mûri.

[...]

La douleur de Dieu est plus profonde, ô monde singulier! Saisis la douleur de Dieu, ne me saisis pas moi! Qui suis-je? Une douce lyre enivrée, une lyre de minuit, une cloche crapaud que personne ne comprend, mais qui doit parler devant des sourds, ô hommes supérieurs! Car vous ne comprenez pas!»

Au comble de l'exaltation, Nietzsche, par la voix de Zarathoustra, rassemble dans un tout unifié, dans un «clin d'oeil» tous les paradoxes de l'existence, la joie et la douleur, la nuit et le jour, la bénédiction et la malédiction, la sagesse et la folie:

«O hommes supérieurs, que vous en semble? Suis-je un devin? suis-je un rêveur? suis-je un homme ivre? un interprète des songes? une cloche de minuit?

Une goutte de rosée? une buée et un parfum d'éternité! Ne l'entendez-vous pas? Mon monde vient de s'accomplir, minuit c'est aussi midi.

La douleur est aussi une joie, la malédiction est aussi une bénédiction, la nuit est aussi un soleil, - éloignez-vous de peur que l'on ne vous enseigne qu'un sage est aussi un fou.

Avez-vous jamais dit oui à une joie? O mes amis, alors vous avez aussi dit oui à toutes les douleurs. Toutes choses sont enchaînées, enchevêtrées, unies par l'amour.

Avez-vous jamais voulu qu'une même fois revienne deux fois? Avez-vous jamais dit: "Tu me plais, bonheur, instant, clin d'oeil!" C'est ainsi que vous voudriez que tout revienne!

- Tout de nouveau, tout éternellement, tout enchaîné, enchevêtré. amoureux, oh! c'est ainsi que vous aimez le monde.

- vous qui êtes éternels, vous l'aimez éternellement et à jamais: et vous dites aussi à la douleur: passe, mais reviens: Car toute joie veut l'éternité!

Toute joie veut l'éternité de toutes choses, veut du miel, du levain, veut un minuit enivré, veut des tombes, veut la consolation des larmes versées sur les tombes, veut un couchant rouge et or.

[...]

Avez-vous maintenant appris mon chant? Avez-vous deviné ce qu'il veut dire? Eh bien! Allons! Hommes supérieurs, chantez mon chant, chantez-le à la ronde! [...] chantez, ô hommes supérieurs, chantez à la ronde, le chant de Zarathoustra!

O homme! Prends garde!
Que dit minuit profond?
J'ai dormi. J'ai dormi.
D'un profond sommeil je me suis réveillé:
Le monde est profond.
Plus profond que n'a pensé le jour.
Profond est son mal.
La joie plus profonde que la peine du coeur.
La douleur dit: passe!
Mais toute joie veut l'éternité.
- Veut la profonde, profonde éternité!»

Oh Mensch! Gieb Acht!
Was spricht die tiefe Mitternacht?
Ich schlief, ich schlief,
Aus tiefem Traum bin ich erwacht:
Die Welt ist tief.
Und tiefer als der Tag gedacht.
Tief ist hier Weh,
Lust tiefer noch als Herzeleid:
Weh spricht: Vergeh!
Doch alle Lust will Ewigkeit,
Will tiefe, tiefe Ewigkeit!

Une réflexion très contemporaine sur le sentiment d'éternité nous est fournie par André Comte-Sponville, qui le rapproche de l'expérience de l'immensité de l'univers:

Nous sommes dans le Tout, et celui-ci, fini ou pas, nous excède de toutes parts: ses limites, s'il en a, sont pour nous définitivement hors d'atteinte. Il nous enveloppe. Il nous contient. Il nous dépasse. Une transcendance? Non pas. puisque nous sommes dedans. Mais une immanence inépuisable, indéfinie, aux limites à la fois incertaines et inaccessibles. Nous sommes en elle: l'immensité nous porte: nous habitons, comme dit une chanson de Marc Wetzel, «le tout-lointain».

[...]

L'effroi? C'est le mot de Pascal*. C'est la sensibilité de Pascal qui s'exprime dans [ses] Pensées, peut-être le plus fameux de tous, sans doute l'un des plus beaux, assurément l'un des plus courts: «Le silence éternel de ces espaces infinis m'effraie.» [...] Tout ego est effrayé, toujours. C'est ce qui donne raison à Pascal, tant que l'ego nous sépare du réel, et qui donne tort, lorsque l'ego se dissout - provisoirement - en cessant de se séparer. Nuit claire: «nuit sereine», comme dit Lucrèce*, nuit lumineuse et douce. Que pèsent nos soucis, face à la Voie lactée? Cela ne les annule pas (qui le pourrait?), mais les rend plus supportables, tant qu'ils ne sont point trop atroces, plus acceptables (oui: ouverts au regard et à l'action), plus ordinaires, plus légers...Le silence éternel de ces espaces infinis m'apaise.

André Comte-Sponville rapproche ce sentiment d'éternité aussi avec le sentiment océanique:

Au fond, c'est ce que Freud, reprenant une expression de Romain Rolland, appelle «le sentiment océanique». Il le décrit comme «un sentiment d'union indissoluble avec le grand Tout, et d'appartenance à l'universel».

Que cette expérience puisse se dire en termes religieux, c'est bien sûr possible, lorsqu'elle tombe, si l'on peut dire, sur un croyant. Mais c'est nullement nécessaire.

Et Comte-Sponville emprunte un témoignage de Richard Jefferies au beau livre de Michel Hulin consacré à ce qu'il appelle «la mystique sauvage»:

«L'éternité est là, maintenant. Je suis dedans. Elle est autour de moi dans l'éclat du soleil. Je suis en elle comme le papillon qui flotte dans l'air saturé de lumière. Rien n'est à venir. Tout est déjà là. Maintenant l'éternité. Maintenant la vie immortelle. Ici, en cet instant, près de ce tumulus, maintenant, je vis en elle...»

[...]

Il existe d'ailleurs un autre texte, que ne cite pas Michel Hulin [...] Il s'agit de la fin, si belle, si émouvante de L'Étranger , d'Albert Camus*. On se souvient qu'il s'agit d'un condamné à mort, à la veille de son exécution: «La merveilleuse paix de cet endormi entrait en moi comme une marée... Vidé d'espoir, devant cette nuit chargée de signes et d'étoiles, je m'ouvrais pour la tendre indifférence du monde. De l'éprouver si pareil à moi, si fraternel enfin, j'ai senti que j'avais été heureux, et que je l'étais encore.» [...] «Quand donc suis-je plus vrai que lorsque je suis dans le monde?», se demande Camus, dans L'Envers et l'Endroit. Et il ajoute, en guise de réponse: « Je suis comblé avant d'avoir désiré. L'éternité est là et moi je l'espérais ».

Dans son propos sur L'éternité, nous lisons chez Comte-Sponville une conception de l'éternité tout autre que celle d'Alain , qui la place hors du temps, et plus proche de celle de Kierkegaard et de Nietzsche :

Plus de passé! Plus d'avenir! Il n'y a plus que le présent, qui reste présent: il n'y a plus que l'éternité. [...] Le passé n'est pas, puisqu'il n'est plus. L'avenir n'est pas, puisqu'il n'est pas encore. Il n'y donc que le présent, qui ne cesse de changer, mais qui continue et reste présent. Qui a jamais vécu un seul hier? Qui a jamais vécu un seul demain? C'est toujours aujourd'hui. C'est toujours maintenant. «Seul le présent existe», disaient à juste titre les stoïciens*, si bien que «le temps tout entier est présent». [...] On peut dire de lui, ce n'est pas une coïncidence, ce que Parménide disait de l'être: « Ni il n'était ni il ne sera, puisqu'il est maintenant. » Or, un présent qui reste présent, c'est ce qu'on appelle traditionnellement l'éternité - non un temps infini, qu'il vaut mieux appeler la sempiternité, mais un « éternel présent », comme disait saint Augustin*, ce qu'il appelait le «perpétuel aujourd'hui» de Dieu, à quoi j'opposerais volontiers le perpétuel aujourd'hui du monde [...]

Et Comte-Sponville, pour terminer son propos, de citer et de commenter l'étonnante formule de Spinoza*, « sub specie æternitatis » :

«Nous sentons et expérimentons que nous sommes éternels ». C'est ce qu'avait vu Wittgenstein*: « Si l'on entend par éternité non la durée infinie mais l'intemporalité, alors il a la vie éternelle celui qui vit dans le présent. » Comment s'étonner que l'idée même de la mort lui devienne indifférente? Il est déjà sauvé, ou plutôt il n'y a plus personne à sauver: il n'y a plus que l'éternité actuelle; il n'y a plus que l'éternité en acte. Comme le paradis, à côté, semble dérisoire! Comment l'éternité pourrait-elle être à venir? Comment pourrions-nous l'attendre ou l'atteindre, puisque nous y sommes déjà? Éternité du présent: présence de l'éternité.

 

© Éric Volant

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Date de création:-1-11-30 | Date de modification:2012-06-28

Notes

Sources:
Alain, Les arts et les dieux, XI. Préliminaires à la mythologie humaine, Paris, Gallimard, «Bibliothèque de la Pléiade», 1968, p. 1182-1183.

Nietzsche, Ainsi parlait Zarathoustra, Traduction de Maurice Betz, présenté par Henri Thomas, Paris, Galllimard, «Le Livre de Poche», 1974, p. 360-369.

Peter André Bloch, «Nietzsche als Komponist und Musiker» dans Françoise Daviet-Taylor, et al., Entre la quête de l'absolu et le principe de réalité: mélanges en l'honneur de Jean-Marie Paul à l'occasion de son soixante-cinquième anniversaire, Paris, L'Harmattan, 2003, 29-60.

André Comte-Sponville, L'esprit de l'athéisme. Introduction à une spiritualité sans Dieu, Paris, Albin Michel, 2006, p. 153-183.

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